Le bien que tu fais
Seigneur, je veux chanter le bien que tu fais,
Toi, dans l’Eglise et dire mon poème
à l’amour que tu lui portes.
Elle est faible mais combien d’actes de vie,
de lieux de consolation et d’espérance portent son nom
Elle est souvent
distraite en sa prière,
mais dans combien d’églises, de chapelles,
dans combien de villages se tiennent
des hommes et des femmes qui vont vers Toi
Qui donc habite ces cœurs?
Je te dirai, Seigneur, le poème de l’Eglise.
Elle est plusieurs, elle se déchire parfois,
mais tant de fois elle se laisse
pardonner, réconcilier.
Quelle est donc son espérance
Elle est peut
être incompréhensible
et cependant elle nous nourrit, nous accueille, nous baptise
et sa parole au milieu d’elle est largement ouverte.
Qui donc est sa nourriture?
Façonne la, Seigneur, unifie la
et garde la colorée de mille couleurs,
parlant toutes les langues de la terre,
célébrant toutes les liturgies,
chantant toutes sortes de chants.
Et moi, je trouverai ma place, ma place unique,
que rien ni personne ne pourra m’ôter.
Diaconesses de Reuilly dans Prier la force de la prière